Les desseins de Dieu à l’égard des hommes concernent trois groupes distincts : Israël, les nations, l’Église (1 Cor. 10:32).
Quant aux générations issues des fils de Noé, nous les voyons sombrer dans l’idolâtrie et attirer sur elles le jugement de Dieu, à la tour de Babel (Gen. 11).
2.1.3 L’appel de mise à part : Abraham
De Babel, l’Éternel dispersa les hommes sur la face de toute la terre (Gen. 11:9) ; mais il appela Abraham, lui disant : «Va-t’en de ton pays, et de ta parenté, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai ; et je te ferai devenir une grande nation, et je te bénirai, et je rendrai ton nom grand, et tu seras une bénédiction... et en toi seront bénies toutes les familles de la terre» (Gen. 12:1-3).
Ainsi, en vertu d’un décret de sa grâce souveraine, Dieu appelle Abraham hors de son pays, fait alliance avec lui et lui promet trois choses un pays, la Palestine ; une postérité innombrable, qui constituera une grande nation le peuple d’Israël ;
par le canal de ce peuple, toutes les familles de la terre seront bénies : cette bénédiction universelle consistera dans la révélation de Dieu par sa Parole et par la venue du Sauveur sur la terre.
Hélas ! Israël ne demeura pas fidèle, de sorte que Dieu dut le châtier. Ce furent les captivités successives et, après qu’Israël eut rejeté son Messie, la destruction de Jérusalem et la dispersion des Juifs parmi les nations. Mais Dieu reprendra ses relations avec son peuple, lorsque l’histoire de l’Église sur la terre sera terminée. Il le ramènera en Palestine et le fera passer par une grande tribulation qui conduira une partie du peuple (le résidu) à s’humilier d’avoir rejeté et mis à mort son Messie. Cette histoire d’Israël s’achève par l’apparition en gloire du Seigneur Jésus qui, après avoir anéanti ses ennemis et jugé les nations, entrera dans son règne.
Lorsque Israël, ayant abandonné l’Éternel, fut emmené en captivité, Dieu attribua un rôle aux nations dans ses voies quant à la terre. Alors débutèrent les «temps des nations» (607 av. J. C)., période qui s’étendra jusqu'à la venue du Seigneur en gloire.
Quand Israël eut rejeté son Messie, Dieu commença à tirer «un peuple pour son nom» (Actes 15:14), aussi bien d’entre les nations que d’entre les Juifs. Ce nouveau peuple, appelé l’Église ou l’Assemblée, est composé de tous ceux qui, depuis la Pentecôte et jusqu’au retour de Christ, en croyant au Seigneur Jésus, sont scellés de l’Esprit Saint et deviennent membres du corps de Christ.
Cette Église, unie à un Christ glorifié, est céleste : ceux qui la composent sont appelés hors du monde, l’objet de leur coeur est dans le ciel, l’espérance de l’Église est d’être bientôt enlevée à la rencontre de son céleste Époux. Son histoire sur la terre se terminera donc par la venue du Seigneur. Précisons que cette venue ne fait pas partie des événements prophétiques, puisqu’elle marque l’achèvement de l’ère de la grâce. La période prophétique s’arrête à la mort du Seigneur et ne reprendra son cours qu’après l’enlèvement de l’Église. Avant d’aller plus loin, rappelons encore que Christ est au centre du plan divin à l’égard d’Israël, des nations et de l’Église. Le grand but des dispensations de Dieu, c’est de se glorifier lui-même en Christ. Par conséquent, ni le peuple juif, ni les nations, ni l’Église ne sont les objets directs de la prophétie, pas plus qu’aucun des personnages que nous serons appelés à considérer au cours de notre étude.
Fait remarquable, l’histoire de ces trois groupes converge sur le retour du Seigneur. Ce retour apportera le bonheur terrestre aux deux premiers pendant le millénium, tandis que l’espérance de l’Église est d’être enlevée à la rencontre du Seigneur, son céleste époux, pour être avec lui.
Lorsque Dieu eut créé l’homme, il le plaça dans le jardin qu’il avait planté pour lui, et le combla de bénédictions. Malheureusement, par sa chute, l’homme se rendit indigne de cette faveur et Dieu dut le chasser d’Eden. La descendance d’Adam, s’étant entièrement pervertie, fut anéantie par le déluge.
Lorsque Dieu eut créé l’homme, il le plaça dans le jardin qu’il avait planté pour lui, et le combla de bénédictions. Malheureusement, par sa chute, l’homme se rendit indigne de cette faveur et Dieu dut le chasser d’Eden. La descendance d’Adam, s’étant entièrement pervertie, fut anéantie par le déluge.
Quant aux générations issues des fils de Noé, nous les voyons sombrer dans l’idolâtrie et attirer sur elles le jugement de Dieu, à la tour de Babel (Gen. 11).
2.1.3 L’appel de mise à part : Abraham
De Babel, l’Éternel dispersa les hommes sur la face de toute la terre (Gen. 11:9) ; mais il appela Abraham, lui disant : «Va-t’en de ton pays, et de ta parenté, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai ; et je te ferai devenir une grande nation, et je te bénirai, et je rendrai ton nom grand, et tu seras une bénédiction... et en toi seront bénies toutes les familles de la terre» (Gen. 12:1-3).
Ainsi, en vertu d’un décret de sa grâce souveraine, Dieu appelle Abraham hors de son pays, fait alliance avec lui et lui promet trois choses un pays, la Palestine ; une postérité innombrable, qui constituera une grande nation le peuple d’Israël ;
par le canal de ce peuple, toutes les familles de la terre seront bénies : cette bénédiction universelle consistera dans la révélation de Dieu par sa Parole et par la venue du Sauveur sur la terre.
Hélas ! Israël ne demeura pas fidèle, de sorte que Dieu dut le châtier. Ce furent les captivités successives et, après qu’Israël eut rejeté son Messie, la destruction de Jérusalem et la dispersion des Juifs parmi les nations. Mais Dieu reprendra ses relations avec son peuple, lorsque l’histoire de l’Église sur la terre sera terminée. Il le ramènera en Palestine et le fera passer par une grande tribulation qui conduira une partie du peuple (le résidu) à s’humilier d’avoir rejeté et mis à mort son Messie. Cette histoire d’Israël s’achève par l’apparition en gloire du Seigneur Jésus qui, après avoir anéanti ses ennemis et jugé les nations, entrera dans son règne.
Quant aux nations, leur histoire, nous l’avons dit, est orientée également vers le retour de Christ, dont le règne de justice et de paix apportera enfin la bénédiction aux peuples déchirés par des siècles de guerre et de haine.
Lorsque Israël, ayant abandonné l’Éternel, fut emmené en captivité, Dieu attribua un rôle aux nations dans ses voies quant à la terre. Alors débutèrent les «temps des nations» (607 av. J. C)., période qui s’étendra jusqu'à la venue du Seigneur en gloire.
Quand Israël eut rejeté son Messie, Dieu commença à tirer «un peuple pour son nom» (Actes 15:14), aussi bien d’entre les nations que d’entre les Juifs. Ce nouveau peuple, appelé l’Église ou l’Assemblée, est composé de tous ceux qui, depuis la Pentecôte et jusqu’au retour de Christ, en croyant au Seigneur Jésus, sont scellés de l’Esprit Saint et deviennent membres du corps de Christ.
Cette Église, unie à un Christ glorifié, est céleste : ceux qui la composent sont appelés hors du monde, l’objet de leur coeur est dans le ciel, l’espérance de l’Église est d’être bientôt enlevée à la rencontre de son céleste Époux. Son histoire sur la terre se terminera donc par la venue du Seigneur. Précisons que cette venue ne fait pas partie des événements prophétiques, puisqu’elle marque l’achèvement de l’ère de la grâce. La période prophétique s’arrête à la mort du Seigneur et ne reprendra son cours qu’après l’enlèvement de l’Église. Avant d’aller plus loin, rappelons encore que Christ est au centre du plan divin à l’égard d’Israël, des nations et de l’Église. Le grand but des dispensations de Dieu, c’est de se glorifier lui-même en Christ. Par conséquent, ni le peuple juif, ni les nations, ni l’Église ne sont les objets directs de la prophétie, pas plus qu’aucun des personnages que nous serons appelés à considérer au cours de notre étude.
L’objet suprême de la prophétie, c’est Christ.
Les divers sujets que nous venons d’énumérer se rattachent à lui, constituent la sphère de sa gloire et ne présentent un intérêt pour nos âmes que parce qu’ils sont en relation avec lui. Christ est le centre, et en lui, tout sera uni un jour, dans le ciel et sur la terre.
Il importe que nous ayons constamment cette vérité devant les yeux, si nous voulons comprendre ce que l’Écriture nous révèle concernant Israël, les nations et l’Église. C’est à cette condition aussi que l’étude de la prophétie fortifiera nos âmes en les nourrissant de Christ, réjouira nos cœurs en leur révélant les gloires de sa Personne, et affermira notre marche en nous amenant à attendre avec toujours plus de réalité notre bien-aimé Seigneur et Sauveur.
Les divers sujets que nous venons d’énumérer se rattachent à lui, constituent la sphère de sa gloire et ne présentent un intérêt pour nos âmes que parce qu’ils sont en relation avec lui. Christ est le centre, et en lui, tout sera uni un jour, dans le ciel et sur la terre.
Il importe que nous ayons constamment cette vérité devant les yeux, si nous voulons comprendre ce que l’Écriture nous révèle concernant Israël, les nations et l’Église. C’est à cette condition aussi que l’étude de la prophétie fortifiera nos âmes en les nourrissant de Christ, réjouira nos cœurs en leur révélant les gloires de sa Personne, et affermira notre marche en nous amenant à attendre avec toujours plus de réalité notre bien-aimé Seigneur et Sauveur.
A suivre...
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